Voici la fin de l'année qui se profile et pour Dorot c'est synonyme de la fin d'une partie du marathon des demandes de subventions et des visites aux fondations et aux collectivités qui nous accordent parfois leur soutien.
Dans le rôle du Schnorrer moderne les associations culturelles.
J'aimerai pouvoir rendre compte ici de ces entretiens qui parfois frisent le burlesque. Mais je m'abstiendrai de donner des noms, l'enjeu est trop important pour notre travail.
Néanmoins...
Vendredi dernier, un chargé de mission français d'une bien dotée fondation, incontournable sur notre sujet de recherche, m'a entretenu de l'orthographe allemande, de l'utilité du tréma sur le U et autres merveilles, alors que j'attendais un avis sur l'orientation de notre projet..Certes mes compétences linguistiques ne s'étendent pas à l'allemand mais c'est pour cela que je fais appel à des traducteurs.
Autre question incontournable: pourquoi les réfugiés autrichiens?
Réponse: pourquoi pas, faut-il appartenir à un groupe pour légitimement s'y interresser ?
En conclusion : lamentable entrevue, j'enverrai néanmoins un dossier et ne manquerai pas de rendre compte de l'avis de l'expert désigné ...qui lui posera peut être les bonnes questions.
J'ai un doute sur les suites qui seront données à ma demande auprès de cette fondation.
Mon grand-père disait dans un idiôme proche de l'allemand que ça ne coûte rien d'essayer, essayons donc
mardi 19 décembre 2006
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